Magasin gratuit de vêtements - Guinguette au profit de la Donnerie du Centre
Cette fois, le réseau des Donneries Nomades installe son magasin éphémère et gratuit au cœur de La Louvière à l’occasion des 10 ans de la Donnerie du Centre.
Vous y trouverez :
un grand 𝗺𝗮𝗴𝗮𝘀𝗶𝗻 𝗴𝗿𝗮𝘁𝘂𝗶𝘁 avec des vêtements adultes, enfants et bébés.
Une 𝗮𝗺𝗯𝗶𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗺𝘂𝘀𝗶𝗰𝗮𝗹𝗲.
Un 𝗯𝗮𝗿 avec boissons et petites choses à grignoter.
Une 𝘁𝗼𝗺𝗯𝗼𝗹𝗮.
Tous les bénéfices de la journée seront versés à LA DONNERIE DU CENTRE.
Objectifs de cette journée
𝗠𝗲𝘁𝘁𝗿𝗲 𝗲𝗻 𝗮𝘃𝗮𝗻𝘁 𝗹𝗮 𝗺𝗮𝗴𝗻𝗶𝗳𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗗𝗢𝗡𝗡𝗘𝗥𝗜𝗘 𝗗𝗨 𝗖𝗘𝗡𝗧𝗥𝗘, qui toute l’année, récolte, trie et redistribue des dons à tout qui en recherche, le tout sans aucun moyen si ce n’est la générosité et l’engagement citoyens.
𝗟𝘂𝘁𝘁𝗲𝗿 𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗹𝗮 𝘀𝘂𝗿𝗽𝗿𝗼𝗱𝘂𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻, 𝗹𝗮 𝘀𝘂𝗿𝗰𝗼𝗻𝘀𝗼𝗺𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗲𝘁 𝗹𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗿𝗮𝘃𝗮𝗴𝗲𝘀 sur la planète et sur les mains d’œuvre exploitées à travers le monde.
Que vous ayez ou non des moyens, il faut que nous soyons de plus en plus nombreux.ses à refuser de contribuer au saccage de nos matières
premières et de succomber aux tentations d’un système qui nous pousse, encore et encore, à consommer.
Il y a beaucoup de choses à donner. Rappelons une règle de base : l’événement est engagé et solidaire. Il n’est pas question d’y prendre des choses pour les revendre de votre côté !
22 JUIN 2024
11h00 - 16h00
école le Piolet
rue de la franco-belge 55 à La Louvière
Comité humain du numérique
Le Comité Humain du Numérique louviérois se réunira pour la seconde fois le 22 juin de 11 à 16h, à l’école le Piolet. Nous vous proposons une journée d’animations et de réflexion autour du numérique et des difficultés qu’il pose à bien des gens.
Comment répondre à la crise de la reproduction sociale, rendue d’autant plus visible par la crise sanitaire du covid-19 ? Quels sont les enjeux d’un salaire au travail gratuit ? Cette étude propose une lecture critique et féministe de deux revendications, l’allocation universelle et le salaire à vie, afin d’en délimiter la pertinence pour répondre à la crise de la reproduction sociale. Pour ce faire, il s’agira ici d’opérer des détours historiques en ravivant, notamment, les débats autour de la campagne pour un salaire au travail ménager dans les années 1970, afin de mesurer, à la lumière de ces luttes, les antagonismes contemporains autour du travail gratuit. Il sera alors possible de déployer de nouvelles stratégies autant que de penser les ambivalences fondamentales dont ces deux revendications sont traversées.
C’est un fait, on a même envie d’écrire ‘’c’est comme ça’’, puisque ça nous a été imposé sans débat : la société est numérique.En 2023, nous avons tenté d’obtenir de nos candidat·e·s politiques des réponses sur leurs intentions programmatiques en la matière. Vous l’avez fait avec nous, via ce formulaire, que nous maintenons en ligne jusqu’aux élections d’octobre.
À entendre les partis francophones, demain, toutes les associations qui se démènent pour limiter la casse sociale seront correctement financées, les bénéfices engendrés par la numérisation renfloueront les caisses des services publics, ce sera beau, ce sera bon, on sera bien.
Mais soyons de bon compte : entre ce qu’on entend et ce qu’on constate, il y a bien des fossés que l’associatif et des citoyens et citoyennes dénoncent et tentent de combler comme iels peuvent.
C’est pourquoi cette année nous remettons le couvert. Cette fois, c’est la voix de nos publics que nous allons faire entendre. Ils vont nous montrer la facture numérique qu’ils payent au quotidien : ce que ça leur coûte financièrement, ce que ça leur coûte physiquement, socialement, psychologiquement, culturellement. Et ensemble, nous réclamerons à tous les niveaux de pouvoir une réponse à la question suivante : comment la plus-value générée par le numérique est-elle effectivement utilisée pour réduire ces coûts ?