Le 8 juin, nous n’hésiterons pas à consacrer le dimanche de la fête des pères à des orphelins : ceux qui, en Palestine, ont vu leurs parents périr dans les ruines de leur pays au cours d’un insupportable massacre à l’oeuvre depuis des décennies.
Et la semaine qui précède, nous nous associons à plusieurs associations pour vous proposer de mettre le focus sur la Palestine, et cela au cours de trois activités !
Ce film, réalisé par un collectif palestino-israélien, a reçu l’Oscar du meilleur film documentaire 2025. Bien plus qu’un film : c’est un objet de lutte, de révolte, de sensibilisation et de tentative d’éveil de la communauté internationale (Les Grignoux)
Arpentage du livre Palestine, un peuple qui ne veut pas mourir d’Alain Gresh, directeur du journal en ligne Orient XXI et ancien rédacteur en chef du Monde diplomatique.
Vendredi 6 juin
à 18h30
ARC-La Louvière
chaussée de Jolimont 23
proposée par l’ARC et PAC
APÉRO-EXPO – Focus Palestine – Au coeur d’une exposition de photographies de Véronique Vercheval et Frédéric Moreau de Bellaing, lecture publique d’extraits du journal Je vous écris de Gaza, sous les bombes, de Hossam Al-Madhoun, par Claudine Aerts et Philippe Dumoulin.
Le dimanche 8 juin à 12h00, un repas au profit des orphelins de Gaza sera servi au restaurant le Grain de Sel.
Le restaurant affiche déjà complet MAIS… un service de repas à emporter est prévu !
Le dimanche 8 juin à 16h00, un concert Musiques pour Gaza au profit des orphelins de Gaza sur la scène du Théâtre Central.
Une très belle affiche pour une indispensable cause : An Pierlé, Antoine Armedan, Benni, Daan, Dan San, Françoiz Breut, Jawhar, La Mancha feat.Badi, Mouv’ (atelier musical du Centre Indigo), Orlane, Nicolas Michaux, Noé Preszow, Rue de la Victoire, Saule et Stef Kamil Carlens se sont annoncés sur une scène qui jouera au seul bénéfice des enfants orphelins de Palestine, via l’ONG palestinienne MA-AN.
PJPO – Paix Juste au Proche Orient – Association créée en 2002, et comptant une section dans la région du Centre, PJPO a organisé en avril 2024 une collecte de fonds qui a permis de réunir plus de 25.000 €.
À travers Musiques pour Gaza notamment, PJPO souhaite poursuivre son travail auprès des orphelins.
MA’AN – ONG palestinienne, basée à Ramallah en Cisjordanie. PJPO a pu mener avec MA’AN un projet d’aide aux orphelins de Gaza, grâce auquel 85 familles avec orphelins ont bénéficié d’une aide d’urgence sous forme de produits alimentaires, médicaments, produits d’hygiène, combustible ou autre.
C’est l’ONG palestinienne qui cible les bénéficiaires grâce à son personnel encore à Gaza.
Yves Merlabach, Le Grain de Sel, Véronique Vercheval, Frédéric Moreau de Bellaing, ARC (Action et Recherches culturelles), CAC (Club Achille Chavée), CENTRAL La Louvière, CRI Centre & Wapi ( Centre régional d’intégration), L’image et l’Ecrit, PAC (Présence et Action Culturelles)
Plus d’infos ? Contactez nous sur info@arc-culture-lalouviere.be ou au 0471 68 39 96 et nous vous orienterons !
Comment répondre à la crise de la reproduction sociale, rendue d’autant plus visible par la crise sanitaire du covid-19 ? Quels sont les enjeux d’un salaire au travail gratuit ? Cette étude propose une lecture critique et féministe de deux revendications, l’allocation universelle et le salaire à vie, afin d’en délimiter la pertinence pour répondre à la crise de la reproduction sociale. Pour ce faire, il s’agira ici d’opérer des détours historiques en ravivant, notamment, les débats autour de la campagne pour un salaire au travail ménager dans les années 1970, afin de mesurer, à la lumière de ces luttes, les antagonismes contemporains autour du travail gratuit. Il sera alors possible de déployer de nouvelles stratégies autant que de penser les ambivalences fondamentales dont ces deux revendications sont traversées.
À entendre les partis francophones, demain, toutes les associations qui se démènent pour limiter la casse sociale seront correctement financées, les bénéfices engendrés par la numérisation renfloueront les caisses des services publics, ce sera beau, ce sera bon, on sera bien.
Mais soyons de bon compte : entre ce qu’on entend et ce qu’on constate, il y a bien des fossés que l’associatif et des citoyens et citoyennes dénoncent et tentent de combler comme iels peuvent.
C’est pourquoi cette année nous remettons le couvert. Cette fois, c’est la voix de nos publics que nous allons faire entendre. Ils vont nous montrer la facture numérique qu’ils payent au quotidien : ce que ça leur coûte financièrement, ce que ça leur coûte physiquement, socialement, psychologiquement, culturellement. Et ensemble, nous réclamerons à tous les niveaux de pouvoir une réponse à la question suivante : comment la plus-value générée par le numérique est-elle effectivement utilisée pour réduire ces coûts ?
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